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Ciné Parc : LA PANTHÈRE DES NEIGES - Saint-Jean-des-Ollières

VENDREDI 25 FÉVRIER   Salle polyvalente   15 h


Tarifs

– Tarif normal : 5.50€

– Tarif réduit : 3.50€ (- 18 ans, étudiants, demandeurs d’emploi et bénéficiaires minima sociaux, carte Cézam sur présentation d’un justificatif)

– Carte d’abonnement (10 places non nominatives) : 42€

– Tarif scolaire/groupe : 2.50€ (gratuit pour les accompagnateurs à raison de 1 accompagnateur pour 10 enfants)

Long métrage français   1h32 - 2021

Genre : Documentaire

Réalisé par Marie Amiguet et Vincent Munier

Public : Tout public à partir de 10 ans


Résumé

Au cœur des hauts plateaux tibétains, le photographe Vincent Munier entraîne l’écrivain Sylvain Tesson dans sa quête de la panthère des neiges. Il l’initie à l’art délicat de l’affût, à la lecture des traces et à la patience nécessaire pour entrevoir les bêtes. En parcourant les sommets habités par des présences invisibles, les deux hommes tissent un dialogue sur notre place parmi les êtres vivants et célèbrent la beauté du monde.

Les critiques

Le journal du Dimanche : « Le résultat force l’admiration, conjuguant des images sublimes et des commentaires éclairés sur la conservation de la faune et de la flore locales dans un documentaire passionnant. Une parenthèse de bonheur. » S.B.

Le nouvel Observateur : « Au mutisme de Munier, Sylvain Tesson oppose en voix off ses aphorismes sur l’absurdité de notre petit théâtre social, les vanités de notre épilepsie moderne, l’inanité de ses conférences et autres glapissements. Non dénué d’humour et assez fascinant. » Sophie Grassin


Le point de vue Ciné Parc

La Panthère des neiges met en scène la rencontre entre le photographe animalier Vincent Munier et l’écrivain Sylvain Tesson, dont l’œuvre est basée sur les nombreux voyages qu’il a effectués dans des conditions souvent extrêmes. Marie Amiguet, la réalisatrice (directrice de la photographie du film La vallée des loups de Jean-Michel Bertrand) raconte : « J’étais curieuse de découvrir quel feu d’artifice ce tête-à-tête allait provoquer entre, d’un côté, Vincent, un homme très sensible à la nature, obsédé par la beauté et effectivement taiseux, et de l’autre, cet écrivain très volubile qui dévore la vie par les deux bouts. J’aime filmer les gens passionnés, tenter de comprendre ce qui anime ces êtres humains d’exception. » Munier connaissait les récits d’aventure de Tesson, en particulier Sur les chemins noirs : « On y sentait une fibre écologique en filigrane. Naturellement, je l’ai invité pour clôturer mes aventures par un livre avec ses textes, et ce film. Comme souvent, j’ai à cœur de lancer des passerelles : transmettre l’émerveillement, suivre le rythme lent de la nature dont on s’imprègne complètement au fil des heures et des observations. Il s’agissait donc de filmer l’échange entre lui et moi autour d’un même rêve, tout en utilisant les images animalières accumulées lors de mes précédentes aventures là-haut ».

Le film a été tourné dans l’Est du Tibet, sur des plateaux situés en moyenne à 4500 m d’altitude avec des sommets à 6000m à des températures moyennes de – 18°C. L’équipe, composée de Sylvain Tesson, Vincent Munier, Marie Amiguet et l’assistant-réalisateur Léo-Pol Jacquot, a effectué deux séjours de trois semaines sur place.



Avant-programme

Le film sera précédé d’un court métrage.